Les zones de guerre, en milieu tant rural qu’urbain, n’ont jamais compté autant de mines terrestres et d’engins explosifs non éclatés qui mutilent et tuent des civils innocents, bien après la fin d’un conflit. Il faut lutter contre ce fléau.
Les soldats de la paix ne peuvent patrouiller et protéger les civils que lorsque les routes sont débarrassées de tout engin explosif. La vie ne peut reprendre son cours que lorsque les champs sont nettoyés et les écoles et hôpitaux sécurisés.
J’exhorte tous les gouvernements à apporter une aide politique et financière à la lutte antimines, afin qu’elle puisse se poursuivre là où elle est nécessaire. Dans le monde tumultueux qui est le nôtre, la lutte antimines est une mesure concrète en faveur de la paix.
Je vous remercie.