A la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies, la Première ministre du Royaume-Uni, Theresa May, a déploré mercredi que la fin de la guerre froide n’a pas entrainé la suprématie des démocraties libérales et a constaté au contraire la remise en cause de la foi dans le libre-échange, l’immense anxiété face aux changements technologiques, ainsi que les déplacements de masse de populations à travers les frontières qui entrainent la montée des nationalismes.
26 sep 2018