Alors que le nombre de conflits violents est « le plus élevé depuis la Seconde Guerre mondiale », les transferts et le détournement d’armes contribuent à la répression interne, aux abus des droits humains et à de graves violations du droit humanitaire international, a déploré mardi, dans un nouveau rapport, le Bureau des droits de l’homme des Nations Unies, relevant des lacunes concernant l’obligation d’empêcher les transferts d’armes interdits.
4 mar 2025