Depuis Tawila, dans l’ouest du Soudan, Denise Brown a lancé vendredi un cri d’alarme. Nommée au début du mois coordinatrice humanitaire des Nations Unies dans le pays, cette Canadienne rompue aux déploiements à haut risque s’exprimait par vidéoconférence devant les journalistes réunis au siège de l’ONU, à New York, après un long périple – « trois pays, trois avions différents et trois jours de route » – pour atteindre une zone devenue presque inaccessible à cause des lignes de front.
3 oct 2025
